Je savais dès le départ que ce serait long et qu’il me faudrait faire preuve de beaucoup de patience (ce qui, contrairement aux apparences qui sont parfois —toujours— trompeuses, est l’une de mes principales vertus, si, si, je t’assure) mais le moins que je puisse dire, c’est que le résultat est là, en tous cas, un début de résultat.
Le deal de départ avait été clair : je ne voulais pas de contrainte, pas de restriction qui, je le sais, aurait fini par me faire craquer. Je le sais pour l’avoir déjà vécu et pour l’avoir vu autour de moi, se priver est peut-être efficace à court terme mais plus difficile à gérer dans la durée. Et moi, je voulais un résultat durable.
Soyons honnêtes, l’objectif premier n’a pas été atteint. Manque d’efforts ? J’aurais certainement pu en faire plus (feignasse un jour…) mais je ne suis pas du genre à tout sacrifier pour atteindre un objectif, même celui-là. Mais cet objectif n’était finalement pas le plus important, malgré sa valeur de symbole. Surtout que l’objectif secondaire, lui, que je croyais au départ très fortement lié au premier, a été atteint. Certes, moins vite que ce que j’aurais voulu, mais la dynamique est enclenchée et je sais que je suis désormais sur la bonne voie…
Alors progressivement, l’objectif numéro un est passé au second plan et l’importance accordée aux kilos a laissé place à celle accordée aux centimètres… Parce que les premiers sont beaucoup moins visibles que les seconds. Parce que les premiers n’ont pas la même valeur selon que l’on est sportif ou pas (et même si, en me remémorant mes séances de torture d’EPS au collège, j’ai encore du mal à l’admettre, le fait est que oui, je suis devenu sportif). Parce que les seconds, lorsqu’ils diminuent, sont finalement l’objet d’une satisfaction bien plus intense.
Lorsque j’ai défini ces objectifs en fin d’année dernière avec mon coach, j’ai pris le soin de ne (presque) pas en parler. Mais maintenant que je me retrouve avec des chemises qui ne me serrent plus à la taille mais que je ne parviens presque plus à fermer à la poitrine, je me dis que j’ai franchi un cap. Symbolique, certes. Mais important. Et surtout source d’une satisfaction personnelle dont tu ne soupçonnes pas l’ampleur… Et rien que ça, ça valait le coup d’être patient.
Ce billet me parle beaucoup en ce moment où j’ ai amorcé une dynamique assez illogique et non conventionnelle pour mon coach.
J’adore le non conventionnel ☺ Peu importe la méthode tant que les résultats sont atteints !
Donc bientôt on risquerait de te confondre avec le beau mâle de la troisième photo, c’est bien ça ??? :p
Moui enfin, il reste de la marge en fait 🙂
L’un n’est pas incompatible avec l’autre quand tu poses le postulat de départ suivant : le muscle est plus lourd que la graisse.
Regarde moi, j’avais un objectif de perte de masse (je sais pas si tu as lu mon dernier article.
Mais j’avais une idée derrière la tête : préparer le terrain pour une modification de silhouette en » profondeur ».
Ça sera mon objectif pour l’été 2015.
C’est tout à fait ça 😉
Félicitations et encouragements de ma part ! Continue comme ça… C’est vrai que commencer à voir des résultats sur son corps, c’est super motivant alors continue comme ça !!!